Résumé rapide :
- 🍫 Le sucré domine l’alimentation sportive (barres, boissons), mais l’excès peut écœurer.
- 🥖 Alterner sucré et salé aide à relancer l’appétit et maintenir l’apport énergétique.
- ⚡ Introduire du salé au-delà de 3h d’effort améliore la tolérance et l’envie de manger.
Pourquoi le sucré est omniprésent en sport ?
Dans l’alimentation sportive, le sucré est partout : barres énergétiques, boissons d’effort, fruits secs, pain blanc… Ces aliments apportent des glucides rapidement disponibles, carburant principal de l’endurance.
Mais en ultra-trail, en cyclisme longue distance ou en trek, le constat est souvent le même : après quelques heures, le sucré en excès peut saturer les récepteurs digestifs et entraîner un phénomène bien connu → l’écœurement. C'est là que nos ultra crackers entrent en jeu
Les limites du “tout sucré”
- Saturation des papilles gustatives.
- Naissance d’un dégoût, perte d’appétit.
- Risque de baisse de l’apport énergétique global.
👉 C’est à ce moment qu’une alternative salée devient précieuse.
Pourquoi alterner sucré et salé ?
Introduire du salé en course n’est pas seulement une question de goût : c’est une stratégie nutritionnelle efficace.
- Relancer l’appétit : le contraste aide à retrouver l’envie de manger.
- Varier les sources de glucides : pain blanc, crackers, riz soufflé…
- Apporter du sodium naturellement via certains aliments salés (chips, bouillons, crackers).
La science le confirme
Une étude de Kreider (2020) sur l’ultra-endurance montre que les athlètes ayant une variété alimentaire pendant la course maintiennent une meilleure ingestion calorique et réduisent les nausées.
Quand introduire du salé ?
- ✔️ Début de course : privilégier le sucré → barres, fruits secs, boissons légères.
- ✔️ Au-delà de 3h : introduire le salé → crackers, pain blanc
- ✔️ Après plusieurs heures : alterner les textures (croquant, moelleux, crémeux) pour préserver l’envie.
Tableau comparatif : sucré vs salé en course
Option | Avantages | |
---|---|---|
Sucré (barres, fruits secs, boissons) | Rapide, pratique, riche en glucides | |
Salé (crackers, pain blanc) | Relance l’appétit, apporte sodium, variété |
Conseils pratiques terrain
- Ne pas attendre l’écœurement → prévoir dès le départ une alternance sucré/salé.
- Tester en entraînement → chaque estomac réagit différemment.
- Prévoir simple → barres sucrées pour le début, crackers en relais.
- Adapter à la météo → en chaleur, le salé (avec sodium) aide à compenser les pertes.
FAQ – Sucré ou salé en course
Pourquoi le salé est-il utile en ultra ?
Il relance l’appétit, apporte du sodium et permet de continuer à manger après plusieurs heures d’effort où le sucré devient écœurant.
Quand introduire le salé en course ?
À partir de la 3e heure, ou dès que tu ressens une perte d’envie pour le sucré. L’idéal est d’alterner régulièrement.
Quels aliments salés choisir ?
Crackers, pain blanc, chips, et dans la gamme COOKNRUN Bivouac : houmous et émiété de tomates, faciles à emporter et digestes.
Conclusion
En sport d’endurance, l’alternance sucré/salé est une stratégie gagnante. Elle permet de préserver l’appétit, de varier les sources d’énergie et de maintenir l’envie de s’alimenter sur la durée.
👉 Chez COOKNRUN, on privilégie des solutions simples : barres sucrées pour le début d’effort, et pour les longues aventures, notre gamme Bivouac salée (houmous & émiété de tomates) pour accompagner la performance.