Hello Yael ! Pour commencer, peux-tu te présenter ?

Salut ! Moi c'est Yael Fourcy (ou Yaeli sur les réseaux), j'ai 27 ans, j'ai grandi dans le Vercors à côté de Grenoble et je suis représentante commerciale et coordinatrice marketing pour la marque de ski Suisse Simply ! 

Comment as-tu découvert le sport et comment es-tu arrivée au VTT et au ski ?

À l'origine, je fais du VTT de descente depuis que j'ai quinze ans. Après six ans passés sur les circuits nationaux puis européens en DH, je me suis tournée vers l'enduro, sans trop de transition, sur des Coupes du Monde pour me challenger. Maintenant j'essaye d'avoir une pratique assez polyvalente entre les compétitions, des aventures et des projets plus créatifs. Du moment que je peux être sur un vélo, ça me va !

À côté de ça, je fais aussi beaucoup de ski depuis toute petite, avec un gros penchant pour le freeride. Pour la saison d'hiver qui arrive, j'ai décidé de me pousser un peu plus, donc de belles choses arrivent bientôt ! 

©Hugo Wirth

Qu’est-ce qui t’anime en dehors du sport ?

Je suis très attachée à la musique, ça me rythme et me motive dans chaque chose que j'entreprends et ça me permet d'imaginer mes futurs contenus et projets, de leur donner une ambiance, un style. J'écris aussi beaucoup, j'adore raconter des histoires et par conséquent rédiger mes aventures ou celles des autres, pour des médias par exemple, fait partie de ce qui m'anime. Mêler mes passions entre elles qu'elles soient sportives ou plus littéraires, c'est vraiment quelque chose de super gratifiant et satisfaisant. 

Quelle est ta plus belle performance ou ton plus beau souvenir sportif ?

Je pense qu'avoir réalisé un film de vélo - BELONG., où je me suis livrée pratiquement à coeur ouvert sur ma pratique, mes émotions, mes ressentis, est à ce jour ma plus belle réalisation sportive. De la conception aux heures de tournage, jusqu'à me voir sur un écran de cinéma pendant le High Five festival, c'était une aventure hyper enrichissante humainement et sportivement. Sans compter la fierté lorsque certains m'ont confié s'être reconnus ou ont été inspirés par mes propres mots. C'est sans aucun doute un projet inoubliable qui a définitivement marqué la suite de mon parcours.

Et côté rencontres, est-ce qu’il y en a une que le sport t’a particulièrement offert ?

Il y en a eu beaucoup mais je dirais que c'est ma bande de potes du vélo, un "petit" groupe de dix-quinze passionnés. 

Ça fait maintenant sept ans qu'on roule ensemble, qu'on partage vraiment tout, qu'on fait plein de projets alors qu'à l'origine tout part du sport et de notre pratique commune. 

C'est un soutien inconditionnel, j'apprends d'eux chaque jour et je pense que c'est ce que j'ai de plus précieux dans ma vie d'athlète mais aussi d'individu désormais. 

C’était quand ta plus belle journée sur un vélo ?

Le jour de mes vingt-quatre ans, je prenais le départ de l'épreuve DH des Crankworx d'Innsbruck devant des athlètes que j'admirais (et admire toujours) énormément. J'avais beaucoup d'appréhension, il y avait des sections techniques qui étaient exigeantes et c'était une période où je commençais à beaucoup remettre en question la compétition, je me demandais si c'était vraiment fait pour moi finalement. 

Pourtant, dès le premier coup de pédale, je me suis sentie tellement bien sur mon vélo, j'ai suivi toutes mes lignes comme je le voulais, je pense que c'était le meilleur run de ma vie, même si je n'ai pas gagné. Je n'ai jamais été aussi satisfaite et contente de moi en arrivant dans une raquette d'arrivée. J'ai énormément progressé et appris ce jour-là vis-à-vis de ma confiance en mes capacités. 

Pourquoi as-tu accepté de rejoindre la team COOKNRUN ?

J'ai eu l'opportunité de participer à un shooting avec l'équipe COOKNRUN et j'ai été bluffée par la qualité des produits, l'ambiance, l'histoire et les ambitions de la marque qui me parlent beaucoup... C'est donc assez naturellement que j'ai choisi de rejoindre la team, pour contribuer à ma façon à l'évolution de COOKNRUN et avoir ce superbe soutien pour chacune de mes aventures. 

Qu’est-ce que tu aimes particulièrement chez COOKNRUN ?

Le fait que ce soit une entreprise française, totalement transparente sur ses procédés de fabrication mais aussi la passion des personnes derrière la marque, qui visent une qualité incomparable. Sans oublier l'aspect communautaire très fort et l'inclusivité. 

Est-ce que tu as déjà un produit préféré dans la gamme ?

Je dirais qu'il y en a deux : les barres de récup choco-coco, le goût, la texture, tout est très bon et surtout, elles m'ont sauvée plus d'une fois à la fin d'une grosse sortie ! Et le tartinable à la tomate, pour le plaisir et parce que je pourrais en manger tous les jours sans problème ! 

Comment décrirais-tu ton partenariat avec COOKNRUN ?

C'est une relation saine, qui permet une collaboration authentique et vraie. Je me sens écoutée et soutenue et je pense que c'est essentiel dans un partenariat entre un individu et une marque. 

Quels sont tes projets ou objectifs pour la suite ?

Un second film ! C'est mon plus gros projet pour l'année prochaine, cette fois-ci co-écrit et réalisé avec mon frère Nathan, lui-même athlète en ultra-trail. Je suis ravie de pouvoir mêler famille et passion sportive et suis impatiente de présenter ce nouveau court-métrage. 

Qu’est-ce qu’on peut te souhaiter pour la suite ?

De continuer à créer et faire mon petit bout de chemin à travers ma pratique ! 

Un dernier mot pour conclure ?

Go with the flow, ça illustre bien cet état d'esprit d'avancer comme on le souhaite sans se soucier des autres, de faire les choses pour soi et à son rythme (en ayant toujours un sachet de fruits séchés COOKNRUN dans la poche évidemment).